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Conseils de dégustation (à l’européenne) : La préparation d’un steak Wagyu classique demande quelques soins :
Une demi-heure avant la cuisson frotter le morceau de Wagyu au gros sel (marin)
Griller la viande ou la poêler avec un peu d’huile (de préférence de l’huile de sésame) ou de beurre à température moyenne ou légèrement chaude. Nous vous déconseillons vivement de trop cuire votre viande. L’art consiste à garder les acides gras non saturés simples dans la viande. Ils garantissent ainsi une viande juteuse et une sensation gustative luxueuse.
La cuisson terminée, retirer la poêle du feu et laisser reposer brièvement la viande. La saveur de la viande Wagyu s’épanouit le mieux lorsqu’elle est servie sans sauce. La viande peut toutefois être poivrée à volonté. La viande fond délicieusement dans la bouche et procure une jouissance culinaire sublime.
Autre suggestion de dégustation :
-> En shabu-shabu : des tranches très fines cuisent dans un bouillon léger. On assaisonne avec du ponzu (sauce acide à base d’agrumes) ou avec du gomadare (sauce sucrée-salée à base de sésame)
-> En sukiyaki : une marmite spéciale en fonte, appelée sukiyaki-nabe, est placée au centre de la table avec la sauce warishita (caramélisée avec du sucre, mouillée avec du saké, détendue avec de la sauce soja). Chacun fait cuire les aliments de son choix dans la marmite puis les trempe dans un petit récipient individuel dans lequel un œuf a été cassé et battu. Il semblerait que ce soit la meilleure cuisson possible pour le wagyu car elle apporterait du grillé et du fondant.
-> En seiromushi : dans un panier en bambou, on dépose des légumes puis des tranches de Wagyu et on fait cuire à la vapeur. Pendant la cuisson, le gras de la viande fond légèrement et donne une partie des saveurs
-> En gyudon : la viande cuit dans un bouillon agrémenté de marin, choyé et d’un oignon. Puis on la sert sur un bol de riz, on arrose avec le bouillon et ajoute un oeuf poché et du sansho (faux poivre japonais)
(sources Arthur Caisne, le manuel du garçon boucher)